J’aimerais te dire – Crédit Photo : Ronan Lietar, Imazone.
La compagnie A Corpo est une compagnie de danse contemporaine créée en 2004 (sous le nom d’Artopie) dirigée par la chorégraphe Cristina SANTUCCI.
Elle se détermine par son excellence artistique dans le travail qui implique une recherche constante pour la création de chorégraphies innovantes.
La compagnie est engagée dans un travail inclusif. Elle cherche aussi à représenter des danseurs d’horizons géographiques et culturels différents et aux parcours et disciplines divers.
Elle participe activement à des projets avec des personnes porteuses de handicaps pour faire tomber les barrières.
La compagnie A Corpo est également engagée dans les initiatives de responsabilité sociale, telles que les programmes éducatifs pour les jeunes. En effet, elle travaille dans plusieurs établissements scolaires de différents quartiers du territoire des Hauts-de-France , les territoires d’Outre-mer et en particulier la Guyane et ses villages autochtones.
En effet, elle travaille activement dans plusieurs établissements scolaires de différents quartiers du territoire des Hauts-de-France, les territoires d’Outre-mer, et en particulier la Guyane et ses villages autochtones.
La compagnie est attentive au sujet de durabilité environnementale en cherchant à utiliser au maximum des matériaux écologiques, dans l’utilisation de tissus écologiques ou upcyclés pour les costumes et accessoires.
La compagnie A CORPO travaille souvent en collaboration avec d’autres artistes et partenaires pour créer des projets artistiques uniques : cela peut inclure des collaborations avec des musiciens, artistes plasticiens, écrivains, chanteurs, comédiens, danseurs issus de danses traditionnelles ou urbaines, des amateurs…
Cristina Santucci se dédie avec générosité à son travail et met en avant l’importance des rencontres et du partage qui enrichissent son engagement au quotidien.
N’hésitez pas à vous rendre sur la page de Contact et nous faire part de vos questions, commentaires, etc.
C’est avec plaisir que nous y répondrons